Bénéfices du passage à l’économie circulaire
Les collectivités locales profiteraient du passage à l’économie circulaire (définition complète voir 2e partie). Les maires auraient à gagner d’intégrer ces constructions écologiques avec les administrés de la commune ou du village. Cela permettrait d’activer ou réactiver les compétences locales dans les domaines de la menuiserie, ébénisterie, agriculture, entretien, etc. Contactez-nous pour intégrer l’économie circulaire peu importe la taille de votre projet!
Pourquoi passer à ce type d’économie? Pour des raisons de coûts économiques et de partage des compétences de la région. Mais aussi afin de simplifier les procédures d’autorisation. Ainsi, en impliquant les collectivités, l’ensemble des projets est beaucoup plus facilement aménageable. En effet, les maires sont de plus en plus demandeurs afin d’intégrer un projet d’éco-construction dans leur commune et village. Ainsi, dans de nombreux pays, ils appellent à l’aide pour lutter contre la désertification rurale. En effet, les ruines de villages entiers abandonnés pourrissent, détruisant ainsi une partie du patrimoine. Par conséquent, l’économie circulaire offre un frein à la perte de vitalité des villages. Elle peut même permettre de les faire revivre grâce à une dynamique stimulant à coup sûr tous les habitants séduits par ce concept.
L’argent généré et intégré dans l’économie circulaire revient dans une cagnotte du groupe. D’une part cela permet de faire évoluer, entretenir et octroyer aux bénéficiaires des projets de coûts/charges minimisés. D’autre part cela permet aussi de générer des projets R&D.
Définition exhaustive de l’économie circulaire
L’économie circulaire désigne une économie fonctionnant en boucle sans déchets. Son objectif est de produire des biens et services tout en limitant fortement la consommation et le gaspillage des matières premières, et des sources d’énergie non renouvelables.
Selon la fondation Ellen MacArthur, il s’agit d’une économie industrielle qui est réparatrice. Dans cette économie, les flux de matières sont de deux types bien séparés. D’une part, les nutriments biologiques, destinés à ré-entrer dans la biosphère en toute sécurité. D’autre part, les entrants techniques (« technical nutrients ») conçus pour être recyclés sans entrer dans la biosphère.